Dans cette chaude nuit d'été Maltaise, sur un banc isolé dans les lauriers, je suis là, seule, à profiter de l'ambiance avant d'aller me coucher. Des amoureux passent en cherchant un coin tranquille, il la tient par la taille en essayant de l'embrasser dans le cou. Les bruits de la ville se font entendre, estompés par la végétation, puis tu apparais dans la pénombre. Surpris de trouver une sirène ici, tu passes une fois, deux fois, pour enfin t'asseoir près de moi. Bel étalon, je n'ai jamais entendu ta voix, mais ta main a vite trouvé le passage sous ma jupette. Je t'attrape par la nuque pour te voler un baiser mais ta langue s'enfonce dans ma bouche à m'en étouffer et je bascule dos sur le banc. Je saisis tes fesses musclées en passant mes mains dans ton short pour te coller à moi et sentir contre mon ventre ton membre qui a déjà surgit de ce short trop large. Elles sont douces, velues et vibrantes d'excitation. Les lumières du port dessinent en ombre chinoise ta superbe silhouette qui me fait l'amour encore et encore. Ha quelle sympathique rencontre ! Puis tu as disparu en silence, me laissant ce merveilleux souvenir.
